Classe SARIA du CDSAE

Si j'étais président ....

Décision n°1 : Je mettrais toujours en garde-à-vue ceux qui se bagarrent et ceux qui volent. S'ils recommencent, il faut les mettre en prison pour un an.
Décision n°2 : Je demanderais à la police de surveiller les gens et le traffic d'armes pour qu'il n'y ait pas d'attentat. J'essaierais de comprendre pourquoi ils font des attentats pour essayer que ça s'arrête.
Décision n°3 : Je donnerais plus de travail aux gens en France.

Steven

C’était une après-midi de ramassage de déchets, ça s’est passé le mardi 28 février 2017 au bord de la Loire avec les éducateurs (Mourad, Yvonnick), l’enseignante (Leïla) et les jeunes du S.A.R.I.A (Christopher, Guillaume, Rémy) et une ambassadrice tri (Mathilde). On a fait un ramassage de déchets parce qu’on fait un projet sur ça avec l’enseignante. On a ramassé les déchets avec une pince et on a mis les différents déchets dans sacs poubelles différents : il y avait deux sacs poubelles, un sac poubelle pour les déchets ménagers, noir, et l’autre sac poubelle c’était pour les déchets recyclables. On a ramassé plus de déchets recyclables que de déchets ménagers. Si on n’avait pas ramassé les déchets recyclables ils auraient mis longtemps à se décomposer. J’ai aimé avoir appris plus de choses avec l’ambassadrice de tri de déchets. Ça m’a plu de ramasser des déchets, de parler au journaliste. Ce qui m’a moins plus c’est le temps qu’il y avait pendant qu’on ramassait les déchets.
Christopher

Mettre en mots une expérience vécue.

Jeudi 12 janvier, j’ai fait un entraînement de basket au gymnase de Chémery.

J’étais avec une vingtaine d’autres jeunes – du SARIA et surtout de l’IME d’Herbault. Nous avons fait plusieurs ateliers pendant environ 1H30. Sur les photos, on était 3 à faire un exercice : Matthias, Elya et moi. Le joueur au milieu est dans un rôle de défenseur : il empêche le joueur de lancer sa balle de l’autre côté à son partenaire. Il faut bouger son corps : écarter les bras, les bouger, se déplacer. Dans le rôle d’attaquant, il faut essayer d’éviter le défenseur et de le surprendre. Ça m’a plu. Je reviendrai la prochaine fois : le 9 février 2017.

Rémy.

mardi 17 janvier 2017

Jeudi 17 novembre 2016 : Lucas, Sonny et Bixente, nous avons été à un entrainement de basket avec des jeunes de l’IME d’Herbault. Eux avaient déjà participé à des entrainements, tandis que pour nous c’était la première fois. Le gymnase était très grand, très joli et très récent. Pourtant, c’était dans un petit village : à Chémery. Toute la séance a été menée par l’entraineur du club de basket de Chémery : il s’appelle Jules. Il nous a expliqué les règles et les consignes de chacun des ateliers.

Dans un des ateliers, il faut s’entrainer au "double pas ". Il faut placer un pied sur la pastille qui est entre les deux barres ; puis passer la barre, tenir en équilibre sur l'autre pied et marquer le panier.

Dans un autre atelier « passe et suit », on devait se déplacer de pastille en pastille et se faire les passes les uns et les autres. Il fallait bien regarder le joueur qui était après nous pour bien lui faire la passe. Il fallait aussi bien regarder le joueur d’avant pour bien arrêter son ballon.

Un autre exercice consistait à dribbler en se déplaçant sur le côté avec le ballon et de lancer de l’autre main la balle de tennis au joueur en face.

Le panier : Il fallait partir d’un plot, avancer en dribblant avant de tirer au panier. Après avoir récupéré le ballon, il fallait retourner à un plot pour recommencer.

Tir et but : Les joueurs devaient tirer sur les poteaux du but. Le gardien, lui, devait arrêter les tirs.

C’était la pause pour aller boire. Moi je suis allé boire en vitesse parce que je voulais recommencer les exercices. Donc là, j’attends les autres en regardant les ballons parce que j’ai envie de jouer avec. Mais Jules avait dit de ne pas les toucher.

A la fin, il y avait deux équipes allongées face à face. Quand Cédric appelait un joueur de chaque côté, on devait aller le plus vite possible au centre du terrain pour récupérer un ballon et aller en dribblant marquer un panier. Le premier des deux qui a mis le panier gagne un point pour son équipe.

Bixente, Lucas, Sonny

Nous avons résumé l’histoire du livre « Elle est où la ligne ? », de Davide Cali et Joëlle Jolivet

C’est l’histoire d’un petit garçon de dix ans qui a des parents qui sont sur le point de divorcer. Il réfléchit a la ligne que ses parents ont franchie : avant ils s’aimaient, maintenant ils ne s’aiment plus. Il doit prendre le train pour aller en vacances chez sa mamie. Mais il y a la grève des trains. Il doit donc attendre à la Gare De l’Est - GDE. Un clochard qui dit s’appeler Victor Hugo vient lui parler. Ils discutent ensemble des lignes. Ce sont des lignes imaginaires qu’on franchit sans le savoir. Par exemple, avant, le clochard avait une vie normale - maintenant il a une vie d’ « évaporé », c'est-à-dire de quelqu’un qui et seul , qui ne pas se mélanger. La mamie du petit garçon est venue le chercher. Quand il a voulu lui présenter Victor, le clochard était déjà parti : évaporé. Le petit garçon était content d’arriver chez sa mamie. Après, il est retourné plusieurs fois à la Gare De l’Est, mais il n’a jamais revu Victor. Par contre, il a un jour lu dans le journal l’histoire d’un clochard qui avait vécu – ans dans la rue et qui avait retrouvé une maison, un travail, une famille – Il est repassé du bon côté de la ligne et a retrouvé une vie normale. Le petit garçon est sûr qu’il s’agit de Victor.

Le livre se termine par cette phrase : « Alors si Victor a réussi, chacun de nous peut essayer de faire pareil ».

Alberto et Guillaume,

Le 12 mai 2016.

Des exemples de lignes invisibles franchies :

« Avant, je ne jouais pas beaucoup aux jeux vidéos, maintenant j’y joue beaucoup ». Alberto.

« Parfois, avec ma copine, on s’aime, parfois on ne s’aime plus. Cela change, d’un jour à l’autre ». Guillaume.

Des exemples de lignes qui pourraient être retraversées :

« Oui, ne plus taper ma mère »

Alberto.

« Que ça se termine la guerre entre ma copine et moi, parce que des fois on s’insulte, des fois on ne s’insulte pas ».

Guillaume.

Je suis

Je suis joyeux
J’adore les pommes de terre sautées
Mon héros c’est Tom Sawyer
Au SARIA, mon activité éducative préférée c’est être avec le chien Janko. Ce que je déteste le plus au monde, c’est un jeune du SARIA...
Moi j’aimerais bien aller sur la lune, en fusée.
Les fantômes m’effraient.
Je n’aime pas quand on me crie dessus.
J’aime bien la police, parce qu’elle arrête les gens qui font des grosses bêtises.
J’adore le chocolat chaud.
Je m’appelle … Florian.

Je suis

Je suis l’amour
J’aime les kébabs
Mon héros, c’est Flash et Arrow
Au SARIA, mon activité éducative préférée, c’est l’aménagement extérieur
Ce que je déteste le plus au monde, c’est parler mal aux gens.
Je ne suis jamais allé à l’Opéra mais j’aimerais bien y aller.
La poupée Chucky m’effraie.
Je suis blessé quand on parle mal de mes parents.
Le métier de pompier m’attire car tu sauves les gens et c’est un devoir de le faire.
J’adore le thé.
Je m’appelle … Jonathan.

Je suis

Je suis content
J’adore le riz de veau
Mon héros préféré, c’est Capitaine Biceps
Au SARIA, mon activité éducative préférée, c’est le géocaching
Ce que je déteste le plus au monde, c’est ... les épinards...
J’aimerais aller à New-York.
Le vampire Diaries m’effraie.
Je n’aime pas parler aux gens que je ne connais pas.
Je n’aime pas quand des personnes disent des gros mots à mon père.
Le métier qui m’attire, c’est cuisinier dans un restaurant.
Moi, j’adore boire un cappuccino.
Je m’appelle … Joscelin.